Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le deal à ne pas rater :
Jeux, jouets et Lego : le deuxième à -50% (large sélection)
Voir le deal

Partagez | 
 

 [ Fondatrice ] Naïya Zediwa

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Naïya Zediwa

Naïya Zediwa

Admin - Sourcier de Vérité
Messages : 137
Date d'inscription : 30/07/2010

Feuille de personnage
Âge du personnage: 23 ans
Fonction: Sourcier de Vérité
Type de magie: Magie Additive et Soustractive[ Fondatrice ] Naïya Zediwa Vide
MessageSujet: [ Fondatrice ] Naïya Zediwa   [ Fondatrice ] Naïya Zediwa Icon_minitimeSam 31 Juil - 15:38

I – Identité

Nom : Zediwa
Prénom(s) : Naïya
Age : 22 ans
Fonction : Sourcier de Vérité
Particularités : Véritable sourcier
Personnalité sur l'avatar : Inconnue


II - Descriptions :

Description physique : 5 lignes minimum

Naïya est une jeune fille pas réellement remarquable. Plutôt banale dans son ensemble, ce n’est que lorsque l’on se penche réellement sur sa personne que l’on remarque qui est elle. En effet, d’une stature plutôt petite et fine, elle n’attire pas spécialement le regard sur elle, même si elle a les formes féminines que bien des hommes recherchent. Une taille échancrée, des seins ronds et menus, elle est assez attirante lorsqu’on la remarque, mais elle essaye de ne pas trop se montrer, ce n’est pas son but premier, surtout qu’on ne sait jamais ce qui peut arriver lorsque cela devient explicite...

Fine, donc, elle est cependant musclée et ses muscles se dessinent doucement sous sa peau satinée. Ils sont plutôt secs et déliés, mais efficaces, et la demoiselle sait parfaitement s’en servir, c’est un fait. Sa peau qui bronze assez rapidement sous les rayons du soleil les met aussi bien en valeur... Naïya possède des épaules plutôt larges et des bras assez volumineux dans le sens où ce sont des parties de son corps qui travaillent particulièrement et régulièrement, à soulever du poids ou juste son épée, d’ailleurs. Elle a aussi de longues jambes musclées et fines, mais pas réellement remarquables là encore, même si elles la portent sur de longues distances facilement.

N’étant pas une beauté affrivolante, Naïya a cependant un visage harmonieux. Encadré par de longs, lisses et soyeux cheveux d’un noir de jai, il a une forme plutôt ovaloïde qui met en avant ses paumettes hautes et ses grands yeux d’un marron tirant vers l’orange en valeur. Ces yeux sont même tirés légèrement en amande, ce qui donne un ton doux et tendre à son visage, alors qu’elle peut être aussi tout le contraire. Exprimant énormément de ses sentiments, les yeux de Naïya cherchent cependant toujours le regard des autres pour s’y appuyer. Ses lèvres sont fines et d’une jolie couleur vermeille qui attire le regard. Naïya a de longs cils qui viennent lui chatouiller le haut des joues lorsqu’elle ferme les yeux, et cela lui agrandit le regard.

Elle porte le plus souvent des habits légers de voyage, en lin ou en coton, de couleurs plutôt ternes, comme le blanc cassé, le marron ou le vert kaki. Vêtements de voyage légers mais résistants...

Description morale : 5 lignes minimum

Naïya est une jeune fille très spontannée naturellement. Lorsqu’elle voit quelque chose qui ne lui plait pas, qu’elle entend des absurdités, elle réagit au quart de tour, que ce soit de manière positive ou de manière négative. Par spontannée, entendez aussi que la jeune fille dit ce qu’elle pense aux gens, qu’importe leur caste. Elle chercher toujours à connaître la vérité, et c’est d’ailleurs ce qui lui a valu de devenir Sourcière. Elle veut toujours savoir le début des choses, le pourquoi, avant de partir pour une résolution. On ne résout pas les problèmes avec des solutions, mais en agissant sur la source des problèmes, c’est une évidence pour elle, et pourtant beaucoup ne la comprennent pas.

Parfois un peu aigrie, la jeune femme ne se laisse pas faire. Elle a un caractère bien trempé, et si elle peut s’effacer lorsqu’elle juge qu’elle ne connait pas assez tel ou tel sujet, elle ne laisse pas tomber son point de vue facilement lorsqu’elle en a un, et n’hésite pas à le donner. Pourtant, elle n’est pas spécialement extravertie, mais plutôt introvertie. Par cela, elle veut voir le juste, toujours, et intervenir lorsque cela devient strictement nécessaire. N’hésitant pas à répondre à toute provocation, elle en viendra aussi facilement aux mains, car si elle est d’un naturel calme, si elle s’emporte, elle a beaucoup de mal à se reprendre, sauf élément exceptionnel. Impulsive, ses coups font mal, et elle ne mâche pas ses mots, s’en servant comme des armes affutées.

Elle n’a pas réellement le sens du discours, mais la passion qu’il y a en elle suffit souvent à faire passer ses sentiments dans ses mots pour convaincre d’autres personnes. Elle n’a pas une âme noire mais elle n’est pas blanche non plus, et loin d’être naïve et innocente. En effet, avec l’Epée de Vérité, elle est devenue une jeune femme qui ôte la vie, mais seulement pour ce qui est le plus juste et le plus vrai, et son esprit ne dévie pas de cette doctrine, du fait notamment de son éducation propre et tranquille. Elle suit son chemin, le chemin de sa vie, et la respecte, la vénère presque. Elle se considère comme libre, mais elle sait que sans doute tout cela n’est qu’une illusion...

III - Histoire :

Histoire de votre personage : 12 lignes minimum

Naïya a eu une enfance assez agitée. En effet, elle naquit dans le palais du peuple, en D’Hara, sous la coupelle du Seigneur Rahl. Sa mère était une servante de ce dernier, attitrée en cuisine, et n’était pas censée être enceinte. Et encore moins d’un autre que le Seigneur en question. Mais voilà, le Créateur en avait décidé autrement, et Naïya n’était pas la fille du Seigneur, qui pourtant avait profité de sa mère dans son lit plus d’une fois, cette dernière étant excessivement belle, avec ses grands yeux en amande et son corps tout menu. Mais en dehors du palais, elle avait vu un autre homme en particulier, un Sorcier qui donnait du fil à retordre au Seigneur Rahl, d’ailleurs. Sans s’immiscer dans les détails, il semblait qu’il prenait un malin plaisir à mettre un peu de pagaille dans la maison-même des Rahl.

Lorsque naquit la petite fille qu’était Naïya, le souverain de D’Hara ordonna de tuer et la mère et la fille à sa garde personnelle, qui se fit un malin plaisir à infliger un châtiment digne de ce nom à la mère, avant de s’en prendre au poupon. Les cris que poussa sa mère, alors qu’elle n’était qu’un nourrisson, hantèrent pourtant toute sa vie, tous ses cauchemars, sans qu’elle ne sût pourtant ce qu’ils étaient. Mais lorsque la Mord-Sith voulu prendre le poupon pour le tuer à son tour, elle se retrouva nez-à-nez avec le Sorcier en question, et ne comprit pas immédiatement ce que cela impliquait. Fort de son expérience auprès des Mord-Sith, le Sorcier n’utilisa pas sa magie, sachant pertinemment que la femme la retournerait contre lui et le torturerait ensuite grâce à cela. Ainsi, il s’enfuit avec l’enfant emmitouflé dans sa cape, laissant un enfant mort-né à la place de Naïya, et traversa le pays sur le dos d’un large cheval, mais rapide.

L’homme s’occupa bien du nourrisson qu’il avait enlevé à Rahl, simplement parce qu’il avait aimé sa mère, et qu’il l’aimait parce qu’elle était son enfant. Il prenait en charge tout ce que cela impliquait, et rejoignit la Forteresse du Sorcier pour être parmi ses comparses. Le voyage dura plusieurs mois, mais l’homme s’occupa excessivement bien du poupon qui grandissait dans ses bras, contre son torse chaud. Et Naïya aimait déjà cet homme, même si elle n’avait pas conscience de ce qu’il se passait réellement. Apprenant à sourire, puis à rire durant ce voyage, elle grandissait de manière attendrissante. Et lorsque enfin Narhel arriva à l’entrée de la Forteresse du Sorcier, il y entra soulagé. Les Mord-Sith ne l’avait pas suivi, et c’était réellement un soulagement.

Ainsi, après cette naissance plutôt mouvementée, Naïya grandit dans la Forteresse du Sorcier, avec les autres enfants qui y vivaient eux aussi. Il y avait évidemment des fils et des filles de Sorciers, certains ayant le Don et d’autres ne l’ayant pas. Tous étaient promis à un grand avenir, à devenir grand Sorcier ou bien Soeur de la Lumière. Naïya ne savait pas trop ce qu’elle serait, elle. Elle connaissait son père, mais n’avait pas connu sa mère. On ne lui avait pas expliqué ce qu’elle était devenue, simplement parce qu’elle était trop jeune pour entendre de telles atrocités. Mais Narhel s’occupait de sa fille et l’aimait pour deux, c’était une évidence. Pourtant, tout ne fut pas facile.

En effet, à peine la fillette eut sept ans que le Sorcier fut appelé à l’autre bout du pays dans le Palais du Prophète par la Dame Abbesse pour décrypter une nouvelle branche de prophétie saugrenue. Ainsi, l’homme se décida à la prendre avec lui, et la fit monter sur son cheval, devant lui, le temps d’arriver jusque dans l’Ancien Monde. Le voyage dura encore plusieurs semaines, mais Naïya était simplement heureuse avec son père, apprit à se tenir à cheval, à se contenter de peu et surtout prit totalement goût au vent dans ses cheveux et à l’infinité des plaines qui semblaient continuellement l’appeler. Dans un soupir, elle s’endormait chaque soir les yeux plantés dans l’immensité de la Voie Lactée, profondément heureuse.

Lorsqu’ils arrivèrent enfin à Taminura, au Palais du Prophète, Narhel expliqua à sa fille qu’elle allait devoir rester seule avec les Soeurs de la Lumière et les Sorciers en formation, ou même avec les Soeurs en formation parce qu’il avait un rendez-vous important et qu’il ne pouvait pas l’amener. Ainsi, Naïya se retrouva au milieu des jeunes femmes rêvant de devenir Soeur de la Lumière mais récurant les murs et faisant toutes les tâches ingrates qui leur était incombées, et cela la dégoûta. Elle ne voulait jamais faire quelque chose de pareil, et était choquée de savoir que ses amies à la Forteresse voulaient faire Soeur de la Lumière. Cependant, intelligente, elle comprit que c’était un peu pour tester les gens, et que n’importe qui ne devienne pas Soeur.

Elle ne sut pas trop combien de temps son père resta avec la Dame Abbesse. Suffisamment longtemps, dans tous les cas. Des jours et des jours. Mais le temps ne passe pas de la même manière dans le Palais du Prophète, ainsi les années deviennent des heures à cause du sortilège de ralentissement du temps. Sans doute une année passa durant laquelle elle ne le vit qu’une fois de temps en tant, sans savoir ce qui le retenait autant. Mais durant cette année, elle apprit beaucoup sur les Soeurs de la Lumière, leur manière de voir les choses, de les enseigner, de les appliquer, de penser et de se taire. Et Naïya n’aimait pas du tout leur manière de faire avec les Sorciers, même si elles étaient gentilles avec elle. Elles étaient en fait presque intéressées, et voulaient avoir l’autorité sur des gens qui avaient plus de pouvoir qu’elles, alors elles réduisaient ce pouvoir pour pouvoir le contrôler, et ne décidaient jamais vraiment quand la formation des Sorciers était terminée. Ou alors, c’était quand il était totalement soumis.

Et la petite fille qu’elle était ne se voilait pas la face. Elle n’avait que huit ans, mais les années passées dans la Forteresse du Sorcier avaient développé son sens de l’observation et sa capacité à faire la part des choses. Elle n’émettait pas de jugement, mais constatait que c’était ainsi et n’aimait pas cela. Pourtant, elle n’était pas à même de juger et de dire que cela n’était pas bien. Narhel lui avait appris à faire la part de toute chose, surtout de ce qu’elle voyait, entendait et ressentait. Et elle avait mis tout cela à dessein.

Enfin, un jour, son père put repartir, et dut immédiatement retourner à la Forteresse du Sorcier, demandant à Naïya si elle voulait le suivre ou bien rester auprès des Soeurs de la Lumière. La fillette ne réfléchit pas longtemps avant de dire qu’elle voulait rentrer avec lui. Ils repartirent donc comme ils étaient venus, à deux sur un cheval, même si Naïya avait appris les bases de l’équitation durant l’année près des Soeurs. Lorsqu’ils furent à nouveau dans la Forteresse du Sorcier, Narhel dut faire des recherches très poussées concernant ce qu’il avait trouvé avec la Dame Abbesse, et Naïya le vit encore moins qu’au Palais du Peuple. En plus, ses amies avaient toutes grandies elles aussi, alors qu’elle se rendait compte qu’elle-même n’avait pas poussé, était restée au même poids et à la même taille qu’à ses sept ans... Et cela l’embêtait.

Mais elle restait proche de son père, et finalement réussit au bout de quelques années à l’aider dans ses recherches, après avoir appris à lire et à écrire. Elle apprit même le Haut d’Haran, même si c’était assez approximatif, mais au moins elle savait le déchiffrer avec un peu de temps devant elle : plus on est jeune lorsque l’on apprend une nouvelle langue, plus il est facile de l’apprendre. Ainsi, à l’âge de douze ans, elle était capable d’aider son père dans ses recherches, sans pour autant aller dans les bibliothèques qui auraient pu être encore plus utiles, car son Don n’était vraiment pas puissant du tout, malgré elle.

Lorsqu’elle eut quinze ans, elle voulut partir de la Forteresse du Sorcier, en sortir un peu pour découvrir le monde. Narhel s’y opposa farouchement, mais Naïya réussit par avoir ce qu’elle voulait, simplement parce que ses arguments vibraient d’un éclat de vérité irrémédiable. Ce fut à ce moment-là seulement que Narhel comprit qu’il y avait quelque chose en Naïya qui était intéressant, et qu’il n’avait pas vu jusque là. Il en parla d’ailleurs au Premier Sorcier, qui garda ainsi un oeil sur la jeune fille qui partit vagabonder dans les Contrées du Milieu.

Oh, elle ne fit finalement pas grand chose, mais elle se trouva elle-même tout d’abord, quelque chose d’essentiel. Elle s’apprit elle-même, apprit à se battre dans un petit bourg des Contrées du Milieu, fit des tas de rencontres intéressantes et surtout grandit. Dans le plus profond de son âme. Elle découvrit la vérité du monde, la misère et la maladie, dans les petites villes. Elle découvrit aussi la cruauté et la méchanceté, la malignité. La cruauté des hommes, en général. Elle découvrit toutes les pourritures de l’espèce humaine, alors qu’elle avait grandi protégée, malgré tout, et c’est à ce moment-là que les cauchemars avec les cris de douleur de sa mère revinrent dans son sommeil. Elle retourna à la Forteresse du Sorcier lorsqu’elle eut vingt ans exactement, et fut accueillie bras ouverts par Narhel, réalisant à quel point il lui avait manqué.

Il la présenta alors immédiatement au Premier Sorcier, qui posa sur elle un regard qui lui tira des frissons dans tout le corps, sans qu’elle ne sût réellement pourquoi. Puis, elle reprit un peu ses habitudes dans la Forteresse, avant que, quelques semaines plus tard, elle fût à nouveau convoquée par le Premier Sorcier, mais sans Narhel. Celui-ci la consacra alors avec l’Epée de Vérité et la nomma Sourcière de Vérité. Elle fronça les sourcils, alors, ne comprenant pas trop pourquoi on la choisissait elle. Depuis combien de temps cette machination était-elle en place ? La Magie de l’Epée, pourtant, l’habita bien vite, se liant au résidu de Don qu’elle possédait sans pouvoir rien en faire.

Dès lors, elle partit à nouveau de la Forteresse du Sorcier, pour s’éprouver elle-même, et comprendre. Trouver la vérité. Narhel lui avait expliqué ce qu’il s’était passé pour sa mère lorsqu’elle était revenue et avait exigé de savoir ce qu’il s’était réellement passé. Elle était donc en route pour le Palais du Peuple, où résidait le terrifiant Seigneur Rahl...


IV - Autre :

Avez-vous lu l’Epée de Vérité ? Evidemment, j’suis la Fondatrice quand même ! =P

Quelle est votre expérience en RPG ? Ca fait deux ou trois ans que je m’y suis mise.

Où avez-vous connu le forum ? Bah je l’ai créé tiens ! =P
Revenir en haut Aller en bas
https://lalegendedusourcier.forumsrpg.com
 

[ Fondatrice ] Naïya Zediwa

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
 :: Entre nous :: Présentations :: Présensations Validées-