Nom : Rahl
Prénom(s) : Disgrace
Age : 34 ans
Fonction : Seigneur Rahl
Particularités : Sorcier
Personnalité sur l'avatar : Inconnue


Description physique : 5 lignes minimum

Disgrace est un homme tout à fait remarquable. Mais évidemment, s’il y a une part de naturel, il ne faut pas oublier qu’il est un Rahl, un vrai, et qu’ainsi il aime aussi se faire remarquer, dans tous les sens du terme, aussi mauvais fussent-ils. Le seigneur aime particulièrement ses yeux, d’un noir effrayant et profond à la fois, qui peuvent parfois sembler briller de sympathie ou de compassion parfois, alors qu’il n’en est rien. Il ne faut pas croire que le corps ne donne que les indices sur ce que pense une personne. Ne jamais se fier à la couverture d’un livre. Surtout pas chez Disgrace. Son visage en lui-même est assez sec, pourtant ovale de forme, et ses paumettes sont plutôt hautes, mettant une touche de grâce sur son faciès.

Le corps de Disgrace est assez puissant, musclé, évidemment. Un seigneur qui conduit des armées ne peut se permettre d’avoir une moins bonne forme physique de ses soldats, c’est une évidence. Il s’entraîne donc tous les jours pour garder une forme physique suffisante, et surtout cela l’arrange. Parce qu’il fait aussi peur. Il ne ressemble pas à un taureau, loin de là, mais n’est pas non plus un simplet qui a un corps encore d’adolescent philiforme. Son torse est assez musclé, ainsi que ses hanches, et ses muscles forts ressortent sous sa peau légèrement halée et toujours un peu luisante, car il prend soin de s’astiquer tous les matins pour avoir ces reflets effrayants et pourtant terriblement séduisants sur sa peau et ses muscles roulants.

Généralement, il porte des habits qui mettent en valeur ses muscles et son corps. Ainsi, il apprécie tout particulirement les hauts aux manches courtes d’une couleur foncée, entre le noir et le gris. Il porte également des pantalons en lin ou en coton noir. Et bien entendu, il porte par dessus cela, dès qu’il sort de ses appartements personnels, une large cape réhaussée au niveau des épaules qui lui sied à ravir selon son propre avis, évidemment. Une longue cape noire, qui traîne jusqu’à ses pieds pourtant tellement bien coupée qu’elle ne touche pas le sol lorsqu’il marche...

Description morale : 5 lignes minimum

Et bien, il faut avouer que Disgrace est un Rahl, de pure souche. Un Rahl, un vrai, qui a même le Don. Et déjà, en tant que Rahl, son égo en aurait été flatté. Même trop flatté. Mais en plus, il est Sorcier, évidemment. Oh, son Don n’est pas immense, mais il sait s’en servir, puisqu’il a été formé par son propre père. La magie des Rahl court en lui, il ne faut pas croire, et il s’en vante volontier. Evidemment, tout cela le rend exécrable. Et il aime cela, c’est sans doute le pire. Se montrer exécrable auprès des autres, voir leurs mines défaitistes, leurs airs exaspérés, leurs rictus entre la haine et la crainte. Il adore voir l’effet qu’il fait aux gens. Les voir le juger l’amuse au plus haut point, évidemment. Mais il ne craint rien ni personne. Déjà, il a ses Mord-Sith. Et ensuite, il semble évident que personne ne peut rien faire au Seigneur Rahl. Et puis quoi encore ?

Eduqué par son père uniquement, car celui-ci a vu en lui dès sa naissance son prochain successeur, il a pris évidemment de ses vices. Les servants et servantes ne sont que des moins que rien, et il peut en disposer comme bon lui semble. Et il prend du bon temps. Même les Mord-Sith passent dans son lit, car de toute manière leur pouvoir ne peut rien contre le seigneur Rahl lui-même. C’est une sorte de tradition, lui avait dit son père. Les Mord-Sith sont les femmes les plus redoutées du Nouveau Monde. Il faut bien que les Seigneurs Rahl, les hommes les plus redoutés aussi, puissent en jouir. De toute manière, ils vont bien ensemble. C’est comme une évidence. Et ainsi, il s’octroie bien toutes les femmes qu’il souhaite. Pire sans doute que n’importe quel Inquisiteur. Mais les femmes ne sont plus dénuées de sentiment, et c’est ce qu’il préfère. Les voir se débattre. Ou alors essayer d’être indifférentes. Ca c’est le meilleur.

Sadique, sans doute aussi méchant et fier. Qui fait régner l’ordre et la terreur. Et oui, Disgrace est un Rahl dans toute sa splendeur. On ne change pas une équipe qui gagne, n’est-ce pas ?



Histoire de votre personnage : 12 lignes minimum

Comment commencer mieux qu’avec des parents aimants et heureux ? Et bien, on va dire que ce n’est pas le commencement de l’histoire de Disgrace. Loin de là, même. L’histoire commence évidemment le jour où deux personnes se sont rencontrées. Il se trouve que ces deux personnes en particulier étaient le Seigneur Rahl, dénommé Kayhan à ce moment-là, et une soeur de la Lumière, que l’on appelait Zao. Cette dernière était venue voir le Seigneur Rahl pour une réclamation, et était déjà très intimidée par la structure du Palais, qui pompait beaucoup de son pouvoir, et son Han réagissait bien étrangement à ses demandes. Mais cela, encore, ce n’était pas si grave que cela. Pourquoi était-elle venue ? Pour une futilité, diront certains. Enfin, certaines, puisque ce sont des Soeurs de la Lumière qui diront quelque chose sur cette rencontre. En effet, Zao venait demander au Seigneur Rahl si ce dernier aurait bien voulu leur prêter un régiment de son armée au Palais du Prophète pour le défendre contre les quelques attaques des civils, qui embêtaient inutilement les Soeurs et les Novices. Demande futile, mais Zao était persuadée que ce qu’on disait sur Rahl n’était pas vrai. Qu’il n’était pas si mauvais que cela, et que si on lui demandait gentillement, il n’avait pas de raison de refuser...

Et bien, elle comprit à ses dépends qu’il n’en était rien. Que c’était bien l’homme le plus cruel qui fût. Arrivée dans le Palais, elle l’avait donc attendu dans une des salles prévues à cet effet. Il était arrivé une heure plus tard, efflanqué de deux Mord-Sith, puisqu’il savait qu’elle était une Soeur de la Lumière. Elle s’était levée, légèrement angoissée, et s’était approchée d’un pas vers le Seigneur Rahl la tête basse pour lui tendre une main amicale. Et tantis qu’il la prenait dans la sienne, son regard d’un bleu perçant la détaillant de la tête aux pieds, elle se sentit rougir. Immédiatement, elle se reprit, mais déjà il l’avait tirée d’un mouvement adroit vers lui, et glissait ses doigts dans son dos. Un frisson de répugnance la traversa, et elle voulu se dégager. Mais la poigne forte de Kayhan la garda contre lui, et dans un réflexe, elle libéra de son Han. Grossière erreur. Une Mord-Sith se précipita vers elle, la touchant à ce moment précis.

Le piège était rodé, et avait sans doute été pensé des centaines de fois. Infaillible, et Zao était tombée dedans. Un sourire sadique passa sur le visage de la femme en cuir, alors qu’elle levait son Agiel et qu’une douleur cuisante s’élevait sur l’épaule de Zao, qui se recula en criant. Satisfaite, la femme eut un petit sourire et un regard en coin pour son maître, qui hocha la tête tranquillement, sans montrer une once d’émotion. Toute tremblante, Zao voulut parler, mais Kayhan l’avait déjà prise fermement par la main et l’emportait au fil des couloirs. Elle ne comprenait pas ce qui lui arrivait. Cependant, son regard s’attardait sur les couloirs, qui étaient absoluments somptueux et observaient avec attention les plaqués d’or. Soudain, elle fut jetée dans une pièce et ne comprit pas, se retourna. La porte était déjà fermée, et la Mord-Sith qui l’avait touchée avec son Agiel présente. Trois servantes entrèrent dans la pièce, et elle ne comprit pas. Elle ne comprit pas qu’on l’habillait pour rejoindre le Seigneur dans sa couche.

Oui, c’est de cette manière inconcevable et pourtant totalement normale dans le palais que fut conçu Disgrace. Il n’y a pas à se demander pourquoi il est devenu celui qu’il est désormais. C’est une évidence. Zao fut gardée au palais dans une pièce, régulièrement visitée par Rahl, durant toute sa grossesse. Visitée, oui... Et lorsque Disgrace naquit, Kayhan en fut très heureux. Il avait un fils. Il avait un fils, et il savait qu’il avait un Don. Parce que cela ne pouvait qu’être comme ça. Et puis, il le sentait, ce Don. Pourquoi l’appela-t-il Disgrace ? Simplement... Et bien, parce que sa mère, en se suicidant, lui a fait honte. Il avait envie, ce jour-là, de faire un peu d’humour, sans doute.

Disgrace grandit donc dans le palais du Peuple, avec son père. Ce dernier fit une bonne partie de son éducation, et le reste, ce furent les Mord-Sith qui la firent. Il apprit très tôt la colère, l’impulsivité, et développa la sienne. Puis, il y eut la haine, la cruauté, et surtout la fierté d’être un Rahl. Tous ces gens qui criaient son nom trois fois dans la journée, c’était glorifiant, surtout pour un enfant. Il fit exécuter sa première victime à l’âge de dix ans. Puis, après, il enchaîna. Il aimait aussi les frapper, les gens, avec son fouet long, qu’il avait exprès pour cela. Puis, il s’amusa, dès ses quinze ans, avec les femmes, et de plus en plus. Son père l’encourageait, évidemment. Et puis, il apprenait aussi à utiliser son Don de Sorcier avec son père, et s’en sortait plutôt bien. Il n’aurait pas une puissance hors du commun, mais jouissait déjà au moins d’une vraie éducation de ce côté-là, pas comme ces Sorciers qui étaient éduqués par les Soeurs de la Lumière. Il en était fier. Très fier.

Puis, lorsqu’il eut une vingtaine d’années, il décida de partir sur ses propres terres, pour voir à quoi ça ressemblait, de ses propres yeux. Mais pas sans son escorte, évidemment. Il traversa ainsi D’Hara, prit les femmes qu’il souhaitait, s’amusa un peu dans certains villages, sema la terreur, et rit beaucoup. Puis, il revint dans son palais tout de même. Parce qu’on disait que son père était très malade. Alors quand même, il alla le retrouver... Même s’il n’en avait pas grand chose à faire. Au moins, cela serait lui le Seigneur Rahl, après ça.

Lorsqu’il revint, on lui disait partout que son père n’aurait plus que quelques mois à vivre. Il fut donc à son chevet, tentant le tout pour le tout, et l’encouragea, espérant secrètement qu’il mourrait bientôt. Mais le vieux s’accrochait à la vie. Pendant des années. Cinq exactement. Alors, comme il avait vingt-sept ans, Disgrace en eu marre. C’était aussi son jour de gloire. Il prit des mesures radicales et tua son père en l’empoisonnant de ses propres mains, en prétextant lui donner des plantes qui lui diminueraient la douleur. Il fut soulagé de voir qu’en moins de deux heures, enfin, Kayhan mourut cette fois-ci, et sans trop faire de bruit. Alors, il déclara qu’il était le Seigneur Rahl.

C’était bien. Vraiment bien.
Il pouvait régner en seul maître sur ses terres. Faire ce qu’il souhaitait.
Il était le Seigneur Rahl.


Avez-vous lu l’Epée de Vérité ? Oui, tous ceux qui sont sortis en Français

Quelle est votre expérience en RPG ? Ca fait une petite année que j’en fais, je ne sais pas trop ^^

Où avez-vous connu le forum ? De sites en sites, je suis tombé sur un forum marchombre avant d’arriver ici.

Bienvenue, bonne chance pour la suite de ta fiche ! =D

J'ai terminé l'histoire, à vous de jouer ! ^^

Tu es évidemment validé ! =D

Bienvenue à toi le méchant

Grand méchant oui x) Attention, je vais te faire tuer ! ^^

Oh non pourquoi ? T_T
Je pourrais t'être utile à tes côtés non ?

Oublierais-tu que les Rahl veulent détruire les Inquisitrices ? Et donc les Inquisiteurs... ^^

Non non, je n'oublie pas... étant donné que je ne savais pas xD
Et vous faites ça comment ? x)

Avec des Sorciers... Et des Mord-Sith !

Je me ferais un plaisir de l'exterminer pour vous, Seigneur Rahl !

Oh non !
Ne recommencez pas à vouloir vous entretuer, les garçons ! (: