Weloya Natiska
Messages : 11 Date d'inscription : 06/08/2010
Feuille de personnage Âge du personnage: 18 ans Fonction: Mord-Sith Type de magie: Absorption de magie | Sujet: Appelez moi Wel... Ven 6 Aoû - 2:36 | |
| I - Identité Nom : Natiska Prénom(s) : Weloya Age : 18 ans Fonction : Mord-Sith Particularités : Weloya fait partie de la garde du Seigneur Rahl... Et en est entichée. Personnalité sur l'avatar : Rachel Hurd-Wood II - Descriptions : Description physique : 5 lignes minimumWeloya est une jeune femme remarquable, parce qu’elle est tout simplement superbe. D’une beauté sauvage mais magnifique, qui attire l’oeil au moindre passage. En effet, son teint porcelaine fait bien souvent des envieux, et jamais elle ne réussit à bronzer, même en s’exposant au soleil des heures durant – même si elle n’en a pas forcément le temps. Un léger hale pâle l’entoure, de sa peau diaphane et laiteuse, mais elle en reste d’une beauté excessive. Ses longs cheveux, bouclés et d’un roux absolument flamboyant, attirent l’oeil et la pupille comme il n’en est pas permis. Presque toujours détachés, Weloya n’aime pas trop les attacher, quitte à les salir du sang de ses petits chiens. Elle les aime lâchés, parce qu’ils sont tellement volumineux qu’ils en deviennent effrayants. Son corps aussi est d’une beauté scuplturale, tout en monts et merveilles. Des seins rebondis qui sont mis en valeur par le vêtement de cuir marron ou rouge qu’aime arborer Wel, ses hanches larges mais pas trop, sa taille échancrée au possible, ses fesses rondes et ses cuisses musclées, elle a tout pour plaire. Dommage pour ces messieurs qu’elle soit Mord-Sith, n’est-ce pas ? Son visage, d’un ovale harmonieux, laisse entrevoir ses joues hautes, parsemées de tâches de rousseur. Il reste assez enfantin, et envoûtant cependant, par les deux immenses yeux qui y prennent place, d’un gris profond et attirant, dont on a toujours un peu de mal à s’extirper. Ses lèvres, charnues et d’un rouge vermeille, sont un autre artefact pour attirer les hommes dans ses filets, et ses longs cils, eux aussi roux, viennent caresser ses joues lorsqu’elle ferme les yeux. Son corps fin et musclé correspond bien au corps que l’on peut s’imaginer pour une Mord-Sith, mais plus attirant tout de même. Comme elle aime aussi sentir le sang de sa victime sur son corps, elle ôte parfois le costume complet de cuir habituel des Mord-Sith pour passer un débardeur et un short en cuir, juste sentir la chaleur du sang... Description morale : 5 lignes minimumWel est une jeune femme différente des autres, même en tant que Mord-Sith. En effet, pour son statut, elle est toujours joyeuse et heureuse, pleine d’énergie et d’envie de vivre. Oh, il est certain que cela a été dur pour elle, au début, lorsqu’elle s’est faite briser, mais si elle n’oublie pas ce moment de sa vie, ce n’est pas pour autant qu’elle le renie, et fait avec. Alors, elle va de l’avant. Toujours. Pour cela, on pourrait la croire simplement ingénue et naïve, si elle n’avait pas porté l’habit de cuir. Pire qu’une petite fille, elle peut tout à fait bondir dans tous les sens lorsqu’elle est heureuse. Cela surprend bien de ses consoeurs, ou même le Seigneur Rahl ou des gardes de ce dernier, mais elle s’en fiche. Elle est qui elle est, et qui elle veut être, un point c’est tout. On a beau avoir voulu lui briser sa volonté, elle s’est reconstruite après avoir éclatée en mille morceaux. Mis à part cela, Weloya adore le sang. Le sang et la souffrance. Que ce soit sur elle, ou sur les autres. Sans doute est-ce pour cela qu’elle fait si bien son travail de Mord-Sith. Ayant gardé une certaine humanité dans sa manière de voir le monde et d’y évoluer, elle sait ce qui fait mal, et où ça fait mal. Malgré son jeune âge, elle a acquis une certaine expérience, car elle a été ôtée à sa famille très jeune. Wel adore le sang. Le sang qui coule sur ses doigts, sur son Agiel, sur le corps de son petit chien. Elle aime le sentir, sentir sa chaleur, ainsi que les ondes de souffrance qu’il tire, ou les frissons de terreur qu’il peut instiller chez les gens. Elle aime la souffrance, les cris de terreur mêlé à la douleur que poussent ceux qu’elle brise, lorsqu’un os lâche ou qu’un organe se retourne de souffrance. La torture est un réel passe-temps pour elle. Elle adore littéralement cela. Son péché mignon est de faire de ses victimes des esclaves sexuels, avec la grâce de son Agiel. Cela aussi, elle aime. Mais malgré tout, la personnalité de Wel peut être difficile à cerner. D’une part parce qu’elle est très intelligente et peut aisément définir une personne en l’observant quelques secondes, mais aussi parce que son instinct est très fort et donne bien souvent des impressions tout à fait justes. Elle aime manipuler les gens, les sentir sous son pouvoir. Et par dessus tout, même si elle ne l’avouera pas en public, elle trouve le Seigneur Rahl parfait pour elle. Peut-on appeler cela de l’amour ? Sans doute que non. Toutefois, il faut bien avouer que cela peut y ressembler... III - Histoire : Histoire de votre personnage : 12 lignes minimumWeloya est née dans une famille modeste vivant dans l’Ancien Monde, à l’entrée du Palais du Peuple. Vivant sous la coupe du Seigneur Rahl, les fermiers qu’étaient ses parents devaient travailler non pas seulement pour eux, mais aussi pour donner un certain pourcentage de leurs vivres au Seigneur, qu’ils avouaient détester au plus haut point, car bien souvent ils n’avaient presque plus assez à manger pour eux-mêmes. Mais la vie n’était pas trop difficile non plus, d’autant que Wel avait un plus grand frère de huit ans de plus qu’elle qui entrait souvent dans le Palais pour voler quelques vivres sur les étalages des marchands ambulants. Oh, elle n’eut pas une enfance très difficile, mais pas trop facile non plus. Elle aidait bien souvent sa mère aux tâches ménagères, tandis que son père s’occupait des animaux et que son frère, Kres, volait ce qu’il pouvait pour leur survie. Les cinq premières années de sa vie se passèrent ainsi. Ses parents l’aimaient profondément, et le lui montraient, malgré la difficulté de la vie, qui se faisait de plus en plus dure et impitoyable avec eux. Mais ils parvenaient toujours à relativiser, et Kres apportait de quoi même pouvoir parfois être optimiste. Lorsqu’elle eut six ans, alors que Kres en avait quatorze, ce dernier avoua à ses parents avoir de très grosses migraines. Après avoir consulté un guerrisseur, il s’avéra qu’en réalité Kres avait un Don, un Han de magie Additive et Soustractive, et qu’il devait aller consulter un Sorcier qui lui permettrait de gérer son pouvoir. Ainsi, le garçon partit vers la Forteresse du Sorcier pour en trouver un. Mais alors, la vie fut d’autant plus difficile pour Wel et ses deux parents. Le jour de ses sept ans, trois gardes de l’armée D’Harane vinrent la chercher, ordonnant à ses parents de ne pas lutter. Ces derniers, bien trop effrayés, même s’ils voulaient garder leur fille, ne réagirent pas, en son intérêt, parce que sinon ils savaient qu’elle pouvait être tuée en moins de temps qu’il ne faut pour respirer. Ainsi, Weloya fut emmenée par les gardes de D’Hara dans le palais du Peuple, qu’elle n’avait jamais visité de sa vie. Ils passèrent rapidement dans les couloirs, et la petite fille de sept ans qu’elle était regardait simplement partout autour d’elle, admirative de la décoration luxueuse. Elle arriva ainsi dans une immense salle à l’ambiance un peu sombre, et fut mise aux côtés de huit autres jeunes filles, toutes un peu plus âgées qu’elle, elles avaient entre dix et douze ans. Pourquoi l’avait-on prise alors qu’elle était plus petite ? Elle ne savait pas trop... Elles attendirent une bonne heure, certaines des fillettes s’asseyant avant de se faire relever brusquement par les gardes. Wel ne fléchit pas une seule fois les jambes, consciente qu’elle aurait plus mal de se faire relever que de rester debout encore des heures. A la fin de l’heure, la fillette vit rentrer trois hommes dans la salle. Ils avaient tous le visage buriné, des cicatrices lacérantes sur les bras et le visage, ils étaient tous effrayants et suintaient de malveillance. Le plus grand de tous, celui qui semblait être le plus haut gradé, s’avança vers les jeunes filles qu’il y avait disposées là, et les regarda toutes attentivement, posant ses yeux dans ceux des gamines, qui en tremblaient de peur. Il alla même jusqu’à en toucher quelques uns, leur tirant des cris de terreur. Lorsqu’il passa devant Wel, cette dernière s’efforça de ne pas ciller du regard, de ne pas le baisser. Lorsqu’elle sentit la main de l’homme dans ses cheveux, descendre dans son dos, un violent frisson de répugnance la traversa, mais elle ne bougea pas d’un souffle, serrant les dents et inspirant et expirant doucement. L’homme la lâcha alors pour continuer son petit tour. Puis, il revint, à peu près au milieu des filles, et lança un bref ordre. Wel se sentit soulevée de terre et portée avec force sur le dos d’un colosse. Elle tenta de se débattre, y mit griffes, ongles et pieds, sans parvenir à faire desserrer, même infimement, l’étreinte qui la serrait. On la lança dans une sorte de cachot, et elle ne comprit pas du tout ce que cela signifiait. Elle ne comprenait pas tout ce que cela signifiait. Elle n’était qu’une gamine. Plus jeune que les autres. Pourquoi ? Et pourquoi l’avait-on choisie elle ? Elle n’eut pas réellement le temps de réfléchir plus que cela, tandis que l’homme qui l’avait désignée rentrait dans la cellule où elle était. Il avait dans la main une lanière de cuir qui pendant hostentilement de son poignet, et cela tira un froncement de sourcils à Weloya. Il lui parla d’une voix douce et forte à la fois, lui tirant un frisson de peur. Et lorsqu’il s’approcha, elle courut de l’autre côté de la cellule. Encore et encore, et l’homme ne parvenait pas à l’attraper. Et alors qu’elle échappait une énième fois aux mains de son jailleur, elle sentir le cuir effleurer son dos... Suffoqua tant la douleur fut cuisante, tombant à terre. Détails du brisement de Weloya [Personnes sensibles, s'abstenir ] - Spoiler:
On venait de commencer à la briser. Tandis qu’elle peinait à reprendre ses esprits, la fillette fut solidement enchaînée pour ne pas bouger, et l’homme, dénommé Loos, commença méticuleusement son travail. Il venait chaque jour entre trois et quatre heures l’après-midi pour s’amuser avec la fillette, la tâtant de son Agiel, lui arrachant des cris de souffrance terribles, lui brisant des os, lui faisant cracher du sang. Mais Wel s’accrochait, toujours. Elle ne savait pas à quoi. Peut-être à tout à la fois, à son envie de vivre, irrésistible. Elle ne s’était jamais laissée abattre, et cela n’allait pas commencer... Cela dura plusieurs années. Trois exactement, jusqu’à ce qu’elle eût dix ans. Chaque jour, des heures de souffrance, des heures d’os brisés, d’organes retournés, de sang coagulant... Loos semblait follement s’amuser avec le pantin qu’était devenue Wel... Elle avait perdu toute volonté, ne criait même plus à tout ce que pouvait lui infliger l’homme, pendant lamentablement au bout de ses chaînes, mais s’accrochait à la vie irrésistiblement. Ainsi, Loos jugea qu’elle était brisée une première fois.
Lorsqu’il la libéra de ses chaînes, pour lui remettre des habits de cuir noir, symbole qu’elle était en apprentissage pour devenir Mord-Sith, il fit donc convoquer sa mère, comme le protocole l’avait prévu. Wel fut mise dans une autre cellule, et encore une fois enchaînée, pour ne pas pouvoir bouger. Elle détestait les chaînes, elle ne pouvait pas faire autrement que de les détester. Mais pourquoi l’enchaînait-on encore ? Elle eut bientôt la réponse... Lorsque Loos entra dans la pièce, et enchaîna sa mère à l’aide de gardes de la même manière qu’il l’avait enchaînée elle alors qu’il la brisait. Un sourire carnassier et satisfait étirait les lèvres de l’homme vil qu’il était, et c’est sous les yeux de Wel qu’il commença sa besogne, qu’il semblait d’ailleurs apprécier. C’était ainsi qu’on formait les Mord-Sith. D’abord on les brisait, puis celui qui les avait brisées torturait leur mère sous leurs yeux, la frappant de leur Agiel, leur tirant des cris de douleur, les violant même... Ce fut évidemment ce qu’il se passa. Horrifiée, mais incapable de faire quoi que ce soit, même pas de tirer sur ses chaînes, la tête entravée pour ne pas pouvoir détourner les yeux, Wel assista à la torture de sa mère. Les cris qu’elle lançait, alors que Loos la torturait de son Agiel, mais aussi de ses doigts, les promenant sur son corps, la pénétrant intempestivement, laissant son Agiel glisser à ces endroits-là... Cela dura encore deux ans, avant que Loos ne tuât complètement la mère de Wel sous ses yeux, tandis qu’elle ne sentait même plus la compassion qu’elle avait pu avoir pour cette dernière, qui l’avait pourtant tant aimée.
Alors, Loos lui remit l’Agiel avec lequel elle avait été brisée, et avec lequel sa mère avait été tuée. On lui donna une tenue de cuir rouge, avant de la mettre dans un cachot avec son père. Son père enchaîné, la suppliant du regard. Sauf que plus rien ne comptait, pas même l’amour de son paternel. Et elle fit ce qu’on lui demandait : le torturer, puis le tuer. Ce fut l’étape de sa formation qui la marqua le moins, car elle avait cloisonné une partie d’elle-même tout au fond de son esprit, tout au fond de son âme, et ce n’était pas tellement elle qui maniait la terrible arme magique, mais simplement son enveloppe charnelle. Elle n’y était pas, ou dans un état second. En moins d’un mois néanmoins, elle tua son père. Sans état d’âme. La sienne s’était enfuie dans un endroit qui n’était pas accessible consciemment par la jeune fille, ni par personne autour d’elle.
Elle avait seize ans lorsque sa formation fut terminée. Et alors, commença le vrai travail. Elle torturait les gens pour leur faire dire la vérité, leur faire avouer les complots contre le Seigneur Rahl, qu’elle admirait de toute la force qui lui restait. Puis, un jour, elle dut prendre le pouvoir d’un sorcier qui avait voulu nier au Seigneur Rahl. Et ce sorcier se révéla être... son propre frère. Kres. On le lui livra, et alors qu’il dirigeait sa magie vers l’un des gardes, elle lui sauta dessus, l’absorbant par la même occasion. Le regardant d’un regard mauvais, elle lui lança son Agiel en pleine figure, lui cassant le nez au passage, tuméfiant par la même occasion ses lèvres. Le faisant la suivre jusque dans la pièce qui était à elle, pour torturer les gens, elle tenta de lui parler, mais laissa très vite tomber : son frère était devenu complètement imbu de lui-même. Et, dans un fol espoir, il lui avait confié qu’il avait trouvé un plan pour exterminer le Seigneur Rahl ! Entrant dans une colère froide, Wel fit claquer son Agiel contre ses côtes, en brisant deux au passage, lui arrachant un cri de souffrance. Il la regarda encore une fois ahuri. Il ne comprenait pas. - Wel... Wel, tu es sure que c’est toi ?Cette remarque la fit rire à gorge déployée. Et d’un mouvement désinvolte, elle glissa son Agiel le long du torse de son frère pour le faire se relever de douleur. Dans un sourire carnassier, elle le plaqua contre sa gorge, l’empêchant de crier ou d’émettre le moindre son. Elle allait s’amuser. Elle voulait s’amuser ! Alors, elle chercha. Elle tenta de trouver toutes les manières possibles d’utiliser son arme magique. La souffrance qu’elle ressentait lorsqu’elle la tenait était minime, depuis qu’elle avait été brisée, elle ne représentait rien, ou presque. Par contre, le plaisir qu’elle prenait à voir son frère trépasser sous ses coups, était bien réel, et comptait. Elle se rendit compte qu’elle en avait toujours voulu à son frère de l’avoir abandonnée, de les avoir abandonnés. Sans doute que sans lui, elle ne serait pas devenue Mord-Sith, parce que les soldats ne seraient peut-être pas venus la chercher ! Elle déploya toute sa rancoeur contre son frère, toute sa haine, tout ce qui la pourrissait de l’intérieur, et il y succomba, évidemment. Elle avait pour intention de le tuer. Cela avait marché. Après cette rencontre déstabilisante tout de même, elle sentit la partie d’elle qu’elle avait enfouie jusque là ressortir, refaire surface. Elle appréciait toujours autant la souffrance, mais retrouvait ce qui avait fait d’elle une enfant. A avoir évacué sa rancoeur contre son fraternel, elle avait libéré la haine qu’elle avait jusque là, et cela lui avait permi de s’épanouir. Après avoir brisé Kres et livré ses informations au Seigneur Rahl, ce dernier l’invita une fois à venir lui parler, pour qu’elle apprît les runes de l’Ancien Langage, le Haut D’Haran. Dès lors qu’elle le vit, elle n’eut plus de cesse que de lui venir en aide, et de le servir. Il était le Seigneur Parfait, il était intelligent, puissant, et elle voulait le satisfaire. Entièrement. IV - Autre : Avez-vous lu l’Epée de Vérité ? Oui, tous ceux en Français Quelle est votre expérience en RPG ? Euh... Je suis nulle pour m'auto-évaluer x) Où avez-vous connu le forum ? En m'amusant avec Google. ^^ |
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