Nom : Iu
Prénom(s) : Divine
Age : 19 ans
Fonction : Magicienne
Particularités : Son don.
Personnalité sur l'avatar : Keira Knightley


Description physique : 5 lignes minimum

Il y a des moments de la vie où une sorte de beauté naît de la multiplicité des ennuis qui nous assaillent.


Du haut de mes dix-neuf ans, j’ai tendance à tromper les gens sur mon âges. Personne ne me donne moins. Toujours plus. Beaucoup de femmes seraient gênées par ça, mais à moi, ces choses là m’importent peu.
Je mesure un mètre soixante dix environ, la « taille normale « pour une femme, si quelqu’un savait ce qu’était exactement la normalité. J’aurais tout de même aimé être plus grande. On peut dire que j’ai une silhouette harmonieuse , je suis élancée , assez musclée, mais finement . Les galbes de mes haches et de ma poitrine ont su s’affirmer au fil des ans, sans pour autant me laisser en paix. Ma souplesse est l’une de mes grandes qualités. Elle a su se développer au fil de mon enfance.
J’ai un visage lisse, ni rond, ni « carré » , mais je dirai encore une fois dans la norme, avec des fossettes très marquées. On me dit parfois que j’ai un visage d’ange , avec quelques marques de l’enfance. J’ai un teint couleur porcelaine, très pâle donc , qui contraste avec mes long cheveux lisses qui sont d’un noir corbeau.
Mon front est souvent caché sous mes cheveux , car ces derniers sont rarement rattachés en arrière. J’ai des grand yeux légèrement en amende, d’un brun noisette , légèrement doré , qui seront toujours avec cette étrange lueur mystérieuse et sombre à la fois. Mon petit nez , un peu enfantin , trone au centre (comme les gens normaux ) , juste au dessus d’une petite bouche, assez pulpeuse , et rouge sang.

Mes épaules sont étroites, comme pour la majorité des femmes. J’ai des bras assez fins, musclés, et durs. Ma taille est bien prononcée. J’ai de petites jambes, que j’aurait voulu plus longues. Mais elles me conviennent comme elles sont. Ah oui, j’oubliait , j’ai de petits pieds.



Description morale : 5 lignes minimum

En chaque personne réside un part d'ombre et de lumière. Parfois la partie noire est cachée, ou moins présente, parfois c’est le contraire. Mais personne ne peut se vanter de ne pas être sombre en soi. Voilà mon expérience.

J’ai bien changée. Si je faisait une description morale de moi il y a 3 ans, ça ne serait pas la même que celle d’aujourd’hui. Il y aurait surement des points communs, mais beaucoup , beaucoup de différences.


Je suis calme. Je l’ai toujours été. J’ai un énorme contrôle de moi. Même dans les cas extrême, je ne me met jamais à hurler comme une furie. A quoi bon ? Parler calmement fait même parfois plus peur. Car on montre notre confiance, enfin vu par moi.

Je ne suis jamais jalouse. Jamais. Les autres vivent leurs vies, ont leurs bien. Moi j’ai ma vie et j’ai mes biens. Être jalouse ne servira à rien. Je pourrait me procurer ce que je veux quand je le veux.

Ah oui, je suis très orgueilleuse. Je me croîs parfois même au dessus des autres. Peut-être est-ce à cause de mon don. J’ai énormément confiance en moi. Aussi grâce (ou à cause pur certains ) de mes pouvoirs.

J’aime être redoutée des gens. J’aime qu’on ait peur de moi. Ca me montre que je peux contrôler les situations. J’aime aussi quand les hommes sont envoutés lorsqu’ils sont proches de moi. Ca me procure un très grand plaisir.

Je n’évoque jamais mon enfance. Les gens pourraient y trouver un point faible. Car c’est mon unique point faible. C’est pour cela que personne n’est au courant de mon enfance.

Je ne fais confiance à personne. Et je ne parle à personne de choses primordiales, ni même importantes. Il faut gagner ma confiance pour pouvoir parler avec moi. Et gagner ma confiance est une chose ardue. Très très ardue. Pour ne pas employer l’adjectif impossible.


Histoire de votre personnage : 12 lignes minimum

Chapitre 1 : Enfance

-1 , 2 , 3, 4, 5, 6,7 … 20 ! Caché ou pas, j’arrive !

J’étais là , moi et ma petite personne, du haut de mes huit ans, perchée sur la branche la plus haute de cet arbres, a bord du petit village dans lequel nous vivions, mes deux parents et moi. A vrai dire, ce n’étaient pas vraiment mes parents. Je les considéraient comme tels, mais il m’avaient adoptés. Ou plutôt trouvés. Ma mère, Seyna , m’avait racontée l’histoire des milliers de fois. ..

***

Ile soir tombait. Le ciel se colorait d’une douce lueur rosée. Le Soleil se couchait au loin, semblait flamboyer comme jamais, comme pour nous annoncer une promesse. La promesse de revenir le lendemain. Seyna avait tardé chez sa sœur. Elle devait à présent rentrer chez elle, retrouver son époux. Pressant le pas, l’oreille attentive, elle se forçait à ne pas penser aux divers dangers. Elle se trouvait seule, à l’orée de la forêt, le soir. Calme, Calme …

Soudain, un bruit. Le cœur de la jeune épouse bondit. Elle s’arrêta net, haletante de peur. Elle se retournait, regardait de tous les côtés. Rien. Alors, se disant que son esprit avait du lui jouer un tour à cause de sa peur, elle entendit un autre bruit. Un couinement cette fois-ci. Près du buisson. Alors, elle prit un bâton qu’elle jugea assez dur pour se défendre, puis elle s’approcha lentement du buisson. Elle releva une mèche de cheveux qui lui barrait le front, puis aperçut la source du bruit. C’est alors qu’elle entendit des pleurs. Des pleurs ? Elle avait devant elle un couffin de bois, avec un tout petit bébé à l’intérieur.

Soulagement. Délicatement, elle prit le petit bébé de ses mains douces, et l’exposa aux derniers rayons du Soleil , de façon à pouvoir distinguer son visage. C’est alors qu’elle eut le souffle coupé. Ce petit être était magnifique. Que faisait-il seul , en forêt, dans un couffin ? Ou plutôt elle. Car c’était une petite fille. Un petit ange. Elle devait être abandonnée. L’épouse chercha dans le couffin si il n’y avait pas un petit document pour renseigner sur quoique ce soit : la provenance du bébé, son nom, son âge. Non. Il n’y avait rien. Juste un petit bout de papier, avec écrit dessus :

« Prenez-soin d’elle »

C’est alors que la mère, émue, dit à voix haute.

-Oui je vais prendre soin de toi, mon ange. Tu es magnifique, divine…

Après un moment de réflexion , elle ajouta, un léger sourire aux lèvres :

-Oui, c’est ça , Divine.

***

Depuis ce jour, mes deux parents s’étaient jurés de prendre soin de moi. Pour toujours et de ne jamais m’abandonner. Ils étaient adorables. Mon père est forgeron, et ma mère est fleuriste. Ils gagnaient bien leurs vie, et nous vivons aisément. Mais j’aimais par-dessus tout sortir , jouer avec les enfants du village , courir …

-Divine, tu compte dormir dans cet arbre ? On t’a trouvé depuis tout à l’heure !

-Oh ! Désolée.

Alors je sautais, avec une très grande facilité , de branches en branches. Et je me mis à courir vers ma maison, pour le dîner.

Chapitre 2 : Adolescence

-Divine, tu sors ?

-J’arrive.

C’est Jud, mon meilleur ami. Et mon voisin. Je le connais depuis que je suis toute petite. Nous nous bagarrions à l’époque. Il s’amusait à me mettre de la terre dans mes vêtements. Et pour me vanger, je lui mettait des vers dans son dos. Et ça finissait toujours en dispute, et même en bagarre. Et c’est ça qui à renforcé nos liens. Maintenant, j’ai quinze ans, lui en a seize, et nous sommes complices plus que jamais. Il me raconte tout, je lui raconte tout. Sans tabous. Je sais qu’il ne le dira a personne et vice versa. Je dois dire qu’il est assez beau , grand et bruns. Bien bâti. Mis je ressens pour lui qu’une infinie amitié. C’est tout. Je le considère comme mon grand frère.

Je sors en courant de chez moi, en embrassant ma mère avant de sortir , et en criant un au revoir à mon père. Il est à ma porte, tout sourire. Je ne peux m’empêcher de sourire à mon tour.

-Alors, tu as prévu quoi pour aujourd’hui ?

Il me regarde avec des yeux qui attendent une réponse. Mais il y a autre chose, que j’ignore. Alors je propose, avec un ton enthousiaste :

- Et bien, si on allait voler des fruits chez le vieux McGregor ? Hein ? Je n’ai pas déjeuner ce matin.

-C’est parti !


Alors, il passe un bras par-dessus mes épaules, et nous marchons jusqu’à la ferme McGregor. Il est silencieux ce matin. C’est assez bizarre, lui qui parle tout le temps en temps normal. Je lève la tête vers lui et lui demande ;

-Est-ce que tu vas bien ? Tu n’es pas malade ? Si tu veux, on peut s’assoir esi tu n’as pas envie d’aller chez McGregor…

-Non. C’est pas ça. Il faut que je t’avoue une chose, Divine.

-Ah ouai ? Quoi ?

-Je , je …

Nous nous étions arrêtés, et il me fixait dans les yeux. J’étais profondément mal à l’aise. Lui qui parlait tout le temps, qui riait, qui me faisait rire, le voilà gêné tout à coup. Non, vraiment, il n’était pas bien ce matin . Lui qui n’avait aucune honte ! Qui assumait tout ce qu’il faisait, le voilà mal à l’aise devant moi , sa meilleure amie !

-Tu quoi ?

-Je me sens mal. Si on allait boire quelque chose ? A cette heure là, il n’y a personne à l’auberge.

-Si tu veux.

Alors, on se mit en marche vers la Taverne. J’essayais de le remettre à l’aise, en lui posant de nombreuses questions, en essayant de le titiller, de le provoquer, et je fus satisfaite lorsqu’il me répondit sur un ton que je jugeai assez insolent. Qui lui ressemblait beaucoup.

Arrivé à la taverne, je jetai un léger coup d’œil autour de moi pour voir qui était présent. Il n’y avait qu’une femme, surement l’hôte, et trois lourdeaux assis à une table, dans un coin. Ils détournèrent tous leurs regards vers moi lorsque je passais. Jud me tira presque à une table , puis s’assit. Je fis de même, en ignorant les trois vicieux derrière moi. Jud alla commander deux jus de baies rouges, puis revint vers moi.


Alors, nous commençâmes à parler , Jud et moi, de tout et de rien. La manière dont il me regardait avec changée. Légèrement. Mais je l’avais distinguée ces dernières semaines. Mais là, même son attitude était devenue bizarre… J’étais vraiment mal à l’aise. Devais-je gargder mon mal pour moi ? Ou lui en parler ? Si je lui en parlait, il serait vraiment trop gêné devant moi, et je le serait autant. Non. Oui. Je devais lui en parler. C’était mon meilleur amie quand même. Il comprendrait mon gêne.

-Dis Jud, tu vas bien ? Parce que ce matin, tu m’a paru un peu …

-Dis ma jolie, laisse tomber le p’tit brun et viens avec nous. On te montrera c’que c’est qu’un vrai homme.

-Laissez-moi en paix .

J’avais sorti cette phrase d’un ton calme. Trop calme au goût de Jud. Il se leva , et cracha au trois hommes :

-Vous laisserez cette jeune fille tranquille, ou sinon …

-Ou sinon quoi ? Hein ? Tu vas nous caresser ?

Et les trois lourdaud se mirent à rire, d’un rire tonitruant. Je pouvais sentir leurs haleine nauséabonde de ma chaise. Alors, l’un vint vers moi, et m’attrapa par le bras. Essaya , car il fut instantanément propulsé contre le mur du fond. Il se releva, légèrement sonné, et surtout étonné. Personne ne l’avait touché. Ses deux compagnons l’avaient aussi remarqué. Ils me regardaient tous les trois d’un air … gaga. Ce genre d’hommes. Alors ils se jetèrent tous les deux sur moi. Essayèrent, encore une fois, ils furent également propulsé, mais cette fois, hors de l’auberge. Alors le troisième s’enfuit en courant.

-Vient, on s’en va.

Je tirai la main de Jud pour le forcer à sortir. Je ne voulais pas qu’il me pose des questions sur ce qui venait de se passer. Des phénomènes étranges, de ce genre, m’arrivaient souvent. Mais je n’en parlait à personne. J’avais peur qu’ils me croient comme un monstre, qu’ils m’excluent. Je n’en avait même pas parlé à mes parents. C’était comme si j’avais d’étranges pouvoirs. J’avais entendu dire que des êtres, qu’on appelaient magiciennes, avaient ce genre de … pouvoirs. Mais je refusait de l’admettre. Moi ? Une magicienne ?

-Tu ne crois pas que tu devrais en parler ? Non ?

-Non .

Chapitre 3 : Le début d’une nouvelle vie

J’avais dix-sept ans maintenant. Je sortais souvent pour travailler. Je travaillait chez un potier, afin de gagner un peu d’argent, en attendant mes dix-huit ans, pour partir de chez moi, et découvrir le monde. C’était mon rêve le plus cher.

Le soir allait arriver, alors je sortis de l’atelier en scandant un « à demain ! » au potier du village, puis me mit en route vers la maison. Ce soir là était mon soir de paie. J’avais mes sous dans mon sac que je gardais contre moi au cas où. Mais j’avais de plus en plus confiance en moi. Je commençait à admettre que j’avais des pouvoirs magiques. Que j’étais peut-être une de ces magiciennes. Peut-être. Que je pouvais utiliser ces « pouvoirs » contre ceux qui me voulaient du mal.

Montant l’ultime côte avant d’arriver chez moi, j’aperçut soudain des chevaux devant chez moi. Et un garde. Un garde ? Que se passait-il ? Je courut afin de pouvoir rentrer chez moi , sauf que le garde à l’entrée , me regarda et me dit :

-Qui es-tu toi?

-Que se passe-t-il ici ?

La garde me regarda d’un air louche, et me répondit :

- Nous avons entendu dire que cette maison abritait une personne… un peu étrange. Pourquoi cette question ?

-Non, pour rien.

-Qui es-tu ?

-Personne !

Alors il cria : C’est elle ! C’est la fille qu’on cherche !

Alors il se jeta sur moi , et fut directement propulsé au loin. Alors, d’autres gardes arrivèrent, munis d’arbalètes. Qui s’envolèrent . Alors ils se jetèrent sur moi, sauf qu’ils se retrouvèrent figés en plein vol. Alors je les aperçut. Mes parents. Ligotés. Ils me regardaient d’un air … choqué. Alors ma mère me hurla :

-Cours ! Cours ! Enfui-toi ! Ils veulent t’attraper ! On s’en sortira. Ne t’inquiète pas. Nous t’aimons Divine. Nous t’aimons.

Alors un ils arrivèrent, tous d’un coup, deux allèrent vers mes parents pour assurer qu’ils ne puissent pas s’enfuir, et les cinq autres se jetèrent sur moi. Je ne contrôlait pas encore mon pouvoir, alors je détournait les talons.

Je me mis à courir comme jamais je n’avais couru , en pleurant , avec mon sac contre moi. Dieu merci , j’avais une dague dans mon sac ce soir là. J’entendit des pas derrière moi, puis des sabots galopants. Il faisait presque nuit. Alors je m’enfonçait dans la forêt, haletante. Je connaissait bien la forêt. Mieux qu’eux surement. Et il ne pouvait pas suivre mes pas, on ne voyait rien dans ces bois. Je zigzaguait, entre les arbres, les buissons, les fourrées, pour leur rendre la tâche plus dure. Alors, quand j’entendit que j’avais pris une légère avance sur eux, je me mit a grimper un énorme chêne. Je n’avais jamais grimpé comme ça. La peur donne des ailes, et bien j’y crois à présent.

J’avais grimpé si haut qu’ils ne pouvaient pas me voir. Et même, s’ils essayaient de monter, j’essayerai de les propulser.

Alors, les larmes coulèrent. Sans que je ne puisse les contrôler. D’un coup. Je repensais à tout ce qu’ils avaient fait. Mes parents. J’espère qu’ils s’en sortiront. Mais je ne pouvais pas faire autrement ? Si ? Comment ? J’aurais du me sacrifier pour eux ? J’aurais du les sauver ? Alors, croulant sous les questions, je m’endormis sur cette branche, inconsciemment.

L’aurore me réveilla. Je sursautai au contact de la rosée du matin. J’avais des courbatures partout. Dormir sur une branche n’était pas non plus l’idéal. Les gardes devaient être loin désormais. Mais il faillais rester méfiante. Alors, lentement, je descendit du chêne. Comment allais-je faire maintenant ? Ou allais-je aller ? Je ne devais pas prendre le risque d’aller chez moi.

Alors, j’eu une idée. J’avais de l’argent dans mon sac, ma paie du mois, je pouvais aller dans un village , le village voisin , me payer une chambre et trouver un travail. Ou c’est ça. Je vais faire ça. Et je ne resterai pas plus d’un moi dans un village. Mon « don » ne pouvait se cacher à présent. Cette nuit me l’avait prouvé. Je le sentais bouillir en moi à présent. C’est comme si cette nuit m’avait permis de mieux le connaître. Oui. C’était vrai. Alors je me mis en marche vers le village le plus proche, à la rencontre de mon destin.

***

- Non mais vous allez bien ?

J’avais parlé d’un ton calme. Et je l’avais propulsé également vers le mur du fond, on heurtant une chaise pendant son vol. Il me regarda dans le fond des yeux. Il devait regretter d’avoir essayer de me voler mon sac dans cette taverne. Tout le monde a présent m’observait. J’en avais l’habitude. Un petit sourire narquois aux lèvres, je me levais, et me dirigeait vers la porte de sortie, d’un air digne et de défi. Personne n’osa parler, jusqu’à ma sortie.

J’avais dix-neuf ans à présent. Et je contrôlait mon don. Plus personne ne m’effrayait. J’étais si confiante que certains me considéraient comme inconsciente. Avant de voir ce que je pouvais faire. J’aimais, à présent , que les gens aient peur de moi. Qu’ils me respectent. Qu’ils me craignent. Et pour les quelques foux qui osaient me défier, alors un petit tour de magie et puis s’en va.












Avez-vous lu l’Epée de Vérité ? Non, je suis juste une fan de la série, mais je vais les lire, vous inquiétez pas. ^^

Quelle est votre expérience en RPG ? Bah j’aime pas m’auto-évaluer. J’ai commencé en janvier.

Où avez-vous connu le forum ? Sur un forum Sha’Dho et Le Pacte (Yasmïn /Lasmïn )

Encore une Mord'Sith ? x)

Bienvenue

Merci.

Andrew, je ne suis plus mord-sith "dans l'âme " , si je puis dire. =)

Oui c'est ce que j'ai cru comprendre...

Ca promet d'être intéressant

Bah j'espère. =)

au début je voulais faire la Mère Inquisitrice (complètement à l'opposé ) , mais j'ai changé d'avis au dernier moment. Je préfère les bagarres. =)

Biennvenuuue Yasmïn ! =DDD


Alooors... Oui, il y a une TRES GROSSE incohérence XD

En fait, les Inquisitrices ne peuvent pas libérer leur pouvoir sur les Mord-Sith, car ces dernières ont la magie qui absorbe le pouvoir de l'adversaire pour le retourner contre lui. Ce n'est pas tant ça qui me gêne, car tout au long des livres, il est bien dit qu'une Inquisitrice peut convertir n'importe qui...

Non, c'est surtout cette histoire que lorsqu'elle meurt, tu es "liberée" de son pouvoir... Hum, non. Si l'Inquisitrice meurt, tu meurs de chagrin avec elle ! =P

Donc il faudra juste changer cela... Et donc la fin de ton histoire ne sera plus cohérente... Désolée ^^'



T'es sûre de pas vouloir faire la Mère Inquisitrice ? Elle sait se battre aussi, et peut parcourir toutes les Contrées... =P

Bienvenue ! =D

Moi je dis Vive les Mord-Sith !

Andrew, si tu n'es pas content, tu en auras à découdre !

Ah tu m'apprends quelque chose là Naïya... x)

Je vais défendre la cause de Divine puisque je vois qu'elle a vu la série. Dans la série, une Inquisitrice peut effectivement convertir une Mord'Sith mais seulement grâce au Kun Dar. Et ensuite en effet lorsqu'une Inquisitrice meut son converti est libéré de son emprise et ne meurt pas...

Après ça concerne la série, je n'ai pas encore lu les bouquins mais ça ne saurait tarder ^^
Donc si de telles différences existent entre série TV et livres, il serait peut-être bon de préciser quelque part sur le forum quelles règles s'appliquent en cas de désaccord entre les deux au fur et à mesure qu'on en verra non ?
Du genre poster un sujet "Différences entre la série et les livres" et préciser lesquelles s'appliquent ici.
Donc là, ça en ferait déjà deux à préciser si j'ai bien compris

Car je pense que plusieurs viendront grâce à la série et feront alors les mêmes "erreurs" ^^'

C'est une bonne idée, je m'y attèle après avoir répondu à ton RP XD

Ah ...

Bon, bah je vais TOUT refaire (c'est pas grave )

Comme l'a dit Andrew, je n'ai pas lu les livres, mais juste la série, et dans celle-ci , les Innquisitrices peuvent confesser les Mord-sith , et quand une Inquisitrice meurt, dans la Série , celui ou celle qui était sous son emprise se trouve libiré (et n'est pas triste ) .

Bon, c'est pas grave. xD

Je vais voir ce que je peux faire . =)

Merci quand même.

Désolée, je vais préciser tout ça dans les règles et le contexte XD

Bienvenuuue ! =D

Bienvenue !

Merci ! =D

=D

Juste une chose : Personnalité sur l'avatar, c'est pas l'ambiance de l'avatar, mais la personne qui y figure ! XD Pour toi, c'est donc Keira Knightley ! =P


Tu es évidemment validée ! =D

Pense à activer ta feuille de personnage !

Ah ok xD

Oui, c'est évidemment Keira Knightley .

Et je vais faire ma feuille de personnage. =)

Bienvenue Divine ! (:

Merci